«On ne les voit plus et pourtant ils sont là, plus présents que jamais, défilant leur cortège de surnoms aux lettres gonflées: Quidam, Vegas, Jazz, sur les murs de Montréal. Ce sont les noms de jeunes d'aujourd'hui, des graffiteurs qui peinturent la ville dans la pénombre de la nuit.»
http://www.ledevoir.com/societe/203513/graffitis-etre-lus-sans-etre-vus