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ilovenarc

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  1. L'article a été retiré par Urbania mais je crois quand même que le texte doit être dénoncé. Trois graffiteurs sont morts happés par un train dans la nuit de samedi à dimanche. Bang ! Bang ! Bang ! Les trois beurreurs d’innocentes boîtes à malles (entre autres) étaient âgés entre dix-sept pis dix-neuf ans. Bang ! Bang ! Bang ! Trois kids de disparus, trois vandales de moins. BANG ! BANG ! BANG ! Terrible tragédie, comme qu’on dit. Ouin. Je dois d’abord t’avouer que « l’art » du graffiti me laisse frette comme un Jos Louis (je garde mes gâteaux Vachon au congélateur). Pis je dois aussi préciser que je n’ai pas non plus une énorme connaissance de ce mouvement culturel, faque prépare-toi à lire une chiée de généralisations sales. Plus souvent qu’autrement, je vois le graffiti comme de la grosse autopromotion de la part de « l’artiste », juste de la fuckin’ autopromotion; c’est son nickname toujours plus gros, toujours plus partout. L’illégalité ou le danger de la pratique, je m’en bats le testicule (oué, il m’est arrivé un accident dernièrement), ça me donne juste l’impression que le canevas, pis parfois le geste chez les plus wild, est plus important que le message — je ne parle pas ici de message comme dans « pas besoin de crack pour être cool. » Je ne vais pas aller me crosser sur la tombe de ces trois pauvres adolescents — bang ! bang ! bang ! —, cette histoire est triste en crisse. Mais je vais y aller avec un lieu commun gros comme le bras : quand tu fais une joke sur une gourou du web 2.0, il y a de bonnes chances que tu tu fasses frapper par une poursuite juidiciaire. Il y a ce débile léger, Raymond Viger, qui donne un exemple incroyable de déresponsabilisation dans cet article surréaliste que c’est la faute à la Ville qui a coupé dans les budgets de murs légaux (!?), pis que des vieux graffiteurs auraient pu dire à ces jeunes qu’une track, c’est dangereux. Tabarnac. S’il y a un manque de respect dans toute cette histoire, c’est bien de monsieur Viger que ça vient. Fuckin’ damned fuck ! Ces trois kids — bang ! bang ! bang ! — ont voulu jouer avec le feu, se sont mis volontairement en danger, il n’y a qu’à eux à qui incombe la faute. À moins que... Oué, c’est ça ! Shit. C’est la faute au gros méchant train, bordel ! Il en avait assez de tout ce vandalisme, il voulait venger ses collègues aux wagons barbouillés, il a choisi ses victimes, les a attirés sous l’échangeur Turcot, les y a piégés pis BANG ! BANG ! BANG ! Un autre post de Edouard H. Bond
  2. http://urbania.ca/blog/1707/la-loi-de-la-track c'est cheap...
  3. C'est Bonom, un writer de Bruxelles.
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